3/5 – Extension des capacités du casl : point d’étape

Introduction
Le CASL a débuté ses activités en juillet 2010 comme premier Pôle innovation pour l’énergie (Energy Innovation Hub) du Département de l’énergie des États-Unis [1]. Le concept de pôle présente des similarités avec le Projet Manhattan et le Laboratoire Bell, en ce qu’il s’agit d’un organisme de R&D dont le mandat est défini par les besoins les plus pressants au niveau national.
Le but du CASL est de fournir des prédictions confiantes sur les performances des réacteurs nucléaires en conditions normales et accidentelles, à l’aide de technologies de modélisation et de simulation (M&S) scientifiques déployées sur des ordinateurs haute performance (HPC), et de faire largement adopter et appliquer ces capacités par l’industrie nucléaire américaine. Le CASL a choisi de cibler ses activités sur les REP pendant les 5 premières années (Phase 1), en sachant qu’une grande partie des capacités élaborées pourraient s’appliquer directement ou indirectement aux REB et aux petits réacteurs modulaires de type REP intégré.
Pour mieux concentrer ses efforts, le CASL a sélectionné des problématiques complexes représentatives de problèmes pérennes depuis des dizaines d’années, et actuellement traitées par le biais de modifications de conception du combustible et de restrictions sur les schémas de chargement du cœur et sur la conduite.
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